Après la mort accidentelle d'un caïd du coin, un jeune étudiant se voit traquer par mafia et la police locale.
C'est Léger, bien foutu et sans prétention.
Découvert grâce à l'excellent podcast Les Maîtres De L'Horreur
Après la mort accidentelle d'un caïd du coin, un jeune étudiant se voit traquer par mafia et la police locale.
C'est Léger, bien foutu et sans prétention.
Découvert grâce à l'excellent podcast Les Maîtres De L'Horreur
Christopher Walken se déchaîne dans cette histoire d'abduction par des baby sitter de l'espace a capuche qui danse la salsa !
Une ambiance archi sérieuse parasitée par des scènes WTF et des SFX pas possibles.
Une aberration ! 😮👽
Christopher Walken se déchaîne dans cette histoire d'abduction par des baby sitter de l'espace a capuche qui danse la salsa !
Une ambiance archi sérieuse parasitée par des scènes WTF et des SFX pas possibles.
Une aberration ! 😮👽
Acteurs, montage, réalisation, scénario (vaguement inspiré d'un obscur blockbuster Hollywoodien) :
Tout est réuni pour un grand classique nanardesque !
Acteurs, montage, réalisation, scénario (vaguement inspiré d'un obscur blockbuster Hollywoodien) :
Tout est réuni pour un grand classique nanardesque !
Une leçon de narration par l'image.
Du cinéma, quoi.
Une leçon de narration par l'image.
Du cinéma, quoi.
Dante, Kitamura et Brugés livrent des segments sympathiques.
Slade s'éternise sur une idée pourtant terrifiante
et Garris sombre dans le kitsch.
Les sketchs sont reliés par un Mickey Rourke peu concerné.
Mouais...
Dante, Kitamura et Brugés livrent des segments sympathiques.
Slade s'éternise sur une idée pourtant terrifiante
et Garris sombre dans le kitsch.
Les sketchs sont reliés par un Mickey Rourke peu concerné.
Mouais...
Un tout petit film expérimental qui essaie de mélanger une narration éclatée avec des influences venant de Godard et Hitchcock.
C'est pas toujours maîtrisé mais on trouve les thèmes du voyeurisme et du point de vue cher au cinéaste.
Un tout petit film expérimental qui essaie de mélanger une narration éclatée avec des influences venant de Godard et Hitchcock.
C'est pas toujours maîtrisé mais on trouve les thèmes du voyeurisme et du point de vue cher au cinéaste.
Del Toro décalque son scénario de Blade 2 pour l'amener vers un univers plus féerique que le premier volet.
Le réalisateur mexicain s'éclate dans cet écrin taillé sur mesure.
C'est visuellement flamboyant et généreux en scènes spectaculaires.
Del Toro décalque son scénario de Blade 2 pour l'amener vers un univers plus féerique que le premier volet.
Le réalisateur mexicain s'éclate dans cet écrin taillé sur mesure.
C'est visuellement flamboyant et généreux en scènes spectaculaires.
Blindé de références sur l'occultisme, le film déploie des visions Lovecraftiennes et un univers fantastique incroyables.
Dommage que ce soit gâché par un côté comédie romantique lourdaud.
Mais quel plan final!
Blindé de références sur l'occultisme, le film déploie des visions Lovecraftiennes et un univers fantastique incroyables.
Dommage que ce soit gâché par un côté comédie romantique lourdaud.
Mais quel plan final!
30 ans après l'avoir découvert dans une petite salle de quartier à Lyon, quel bonheur de revoir ce manifeste du cinéma de John Woo dans une superbe copie restaurée !
J'ai encore pleuré à la fin...
30 ans après l'avoir découvert dans une petite salle de quartier à Lyon, quel bonheur de revoir ce manifeste du cinéma de John Woo dans une superbe copie restaurée !
J'ai encore pleuré à la fin...
Récit qui se dirige vers les rives de l'absurde à cause d'une partie de poker qui tourne mal.
Un film très étrange qui ne ressemble a aucun autre, une réussite emmenée par une atmosphère et des acteurs envoûtants.
Récit qui se dirige vers les rives de l'absurde à cause d'une partie de poker qui tourne mal.
Un film très étrange qui ne ressemble a aucun autre, une réussite emmenée par une atmosphère et des acteurs envoûtants.
Edgar Wright calme un peu ses ambitions visuelles et vise la satire de la trilogie SF de Paul Verhoeven.
Il y arrive sur les 3/4 du métrage.
Puis le film très fun devient un gigantesque bordel qui se prend les pieds dans le tapis dans sa conclusion.
Edgar Wright calme un peu ses ambitions visuelles et vise la satire de la trilogie SF de Paul Verhoeven.
Il y arrive sur les 3/4 du métrage.
Puis le film très fun devient un gigantesque bordel qui se prend les pieds dans le tapis dans sa conclusion.
Tout le design rétro est superbe et l'on retrouve a quelques occasions la naïveté de l'âge d'or.
Mais passé un début tonitruant,
le film perd peu a peu de son intérêt et on s'ennuie jusqu'à un final spectaculaire mais peu original.
Tout le design rétro est superbe et l'on retrouve a quelques occasions la naïveté de l'âge d'or.
Mais passé un début tonitruant,
le film perd peu a peu de son intérêt et on s'ennuie jusqu'à un final spectaculaire mais peu original.
La photo de Cronenweth est fabuleuse et le mixage sonore fait honneur à votre installation home cinéma.
Le problème c'est que c'est complètement con et ça se prend néanmoins très au sérieux.
Une belle coquille vide.
La photo de Cronenweth est fabuleuse et le mixage sonore fait honneur à votre installation home cinéma.
Le problème c'est que c'est complètement con et ça se prend néanmoins très au sérieux.
Une belle coquille vide.
Des personnages fortement caractérisés en quelques minutes, une écriture solide, une action lisible et un art consommé de l'ellipse pour un divertissement très fun.
Des personnages fortement caractérisés en quelques minutes, une écriture solide, une action lisible et un art consommé de l'ellipse pour un divertissement très fun.
Jai Courtney s'éclate dans son rôle de psychopathe biereux accro a son caméscope VHS.
Le film a le bon goût de durer moins de deux heures, pas besoin de plus de temps quand on sait ce que l'on veut raconter.
Jai Courtney s'éclate dans son rôle de psychopathe biereux accro a son caméscope VHS.
Le film a le bon goût de durer moins de deux heures, pas besoin de plus de temps quand on sait ce que l'on veut raconter.
La cagnotte de soutien pour Jean Paul M., le lanceur d'oeuf, est ouverte. On compte sur vous pour relayer et contribuer à la hauteur de vos moyens.
Elle a été créé en accord avec ses avocats et ses proches, et avec l'aide d'autres personnes souhaitant apporter leur soutien.
La cagnotte de soutien pour Jean Paul M., le lanceur d'oeuf, est ouverte. On compte sur vous pour relayer et contribuer à la hauteur de vos moyens.
Elle a été créé en accord avec ses avocats et ses proches, et avec l'aide d'autres personnes souhaitant apporter leur soutien.
Réaction de Jordan Bardella (QUELLE INDIGNITÉ !!!!!!!!!!!) :
Réaction de Jordan Bardella (QUELLE INDIGNITÉ !!!!!!!!!!!) :
Un sympathique huis clos solidement interprété par le jeune Émile Hirsch qui ne démérité pas devant l'immense Brian Cox.
On peut regretter une dernière demie heure qui verse dans le grand guignol mais on peut aussi profiter d'un joli film parfait pour Halloween
Un sympathique huis clos solidement interprété par le jeune Émile Hirsch qui ne démérité pas devant l'immense Brian Cox.
On peut regretter une dernière demie heure qui verse dans le grand guignol mais on peut aussi profiter d'un joli film parfait pour Halloween
Très belle histoire qui rentre en résonance avec le destin d'Ishiro Honda, transcendé par un majestueux noir et blanc doublé d'un joli discours sur la résilience du peuple japonais et l'acceptation de soi.
Du beau cinéma populaire.
Très belle histoire qui rentre en résonance avec le destin d'Ishiro Honda, transcendé par un majestueux noir et blanc doublé d'un joli discours sur la résilience du peuple japonais et l'acceptation de soi.
Du beau cinéma populaire.
On dirait un épisode d'Inspecteur Gadget en live saupoudré d'un humour bête et méchant qui s'amuse a ridiculiser les conventions de l'heroic bloodshed.
C'est complètement con et ultra jouissif, un vrai bonheur !
On dirait un épisode d'Inspecteur Gadget en live saupoudré d'un humour bête et méchant qui s'amuse a ridiculiser les conventions de l'heroic bloodshed.
C'est complètement con et ultra jouissif, un vrai bonheur !
Comme si il voulait associer le fond et la forme, PTA livre une radiographie d'une Amérique divisée qui s'éparpille après une première heure fabuleuse.
Les scènes avec Benicio Del Toro sont excellentes.
Les frères Coen en aurait fait un classique instantané.
Comme si il voulait associer le fond et la forme, PTA livre une radiographie d'une Amérique divisée qui s'éparpille après une première heure fabuleuse.
Les scènes avec Benicio Del Toro sont excellentes.
Les frères Coen en aurait fait un classique instantané.