Éditions de la rue Dorion
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À Tiohtià:ke/Montréal. Poésie, littérature et essais en histoire et en philo, critiques radicales et menées révolutionnaires de tout acabit. https://ruedorion.ca/
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Nous y serons avec Archives Révolutionnaires, Éd. Raison en Révolte (PCR), M Éditeur, Fernwood Publ., Éditions Collectives, Natacha Novem, Alternative socialiste, Kersplebedeb, The Breach, Étoile du Nord.
Aujourd'hui 5 octobre. 12h - 18h.
Grand atelier du Bâtiment 7 (1900 rue le Ber, Montréal)
Sur fond rouge avec des lignes abstraites : la photographie d'une militante (non identifiée) du Black Panther Party qui vend de la littérature révolutionnaire au début des années 1970.
En surimposition : Foire du livre révolutionnaire. 5 octobre. 12h - 18h. Grand atelier du Bâtiment 7 (1900 rue le Ber, Montréal)
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... et cela a été un immense plaisir de recevoir Alec avec Ted, Ricardo, Gabrielle et les autres...
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THREAD. It was an enormous honor to be in Montreal among wonderful human beings last week for the launch of my new book in French. The book is a translation of my 2024 essay The Body Camera: The Language of Our Dreams. It's become enormously important for a few reasons.
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Si vous n’êtes pas antifascistes, qu’êtes-vous ?

Déclaration conjointe des maisons d’édition québécoises Écosociété @ecosociete.bsky.social , Lux @luxediteur.bsky.social , M éditeur, Moult éditions et rue Dorion.
Fond uni couleur saumon pâle.
En grosses lettres : Si vous n’êtes pas antifascistes, qu’êtes-vous ?
Les logos des maisons : Écosociété, Lux, M, Moult, rue Dorion Déclaration conjointe des maisons d’édition québécoises Écosociété, Lux, M éditeur, Moults éditions et Rue Dorion ] // English follows // 
En tant que maisons d’édition engagées du Québec, nous tenons à exprimer notre vive inquiétude face au décret exécutif (Executive Order) signé le 22 septembre 2025 par le président des États-Unis Donald Trump et intitulé « Désignation de l’Antifa [sic] comme organisation terroriste intérieure » (Designating Antifa as a Domestic Terrorist Organization). Au-delà des nombreuses affirmations troublantes et mensongères que contient ce décret, nous affirmons notre solidarité avec celles et ceux qui luttent contre le fascisme – dans les rues comme dans le champ des idées – et dénonçons la répression croissante à laquelle ces personnes font face. Nous sommes particulièrement préoccupé·es par les répercussions possibles de cette décision politique sur la liberté d’expression et sur les formes culturelles et intellectuelles de l’antifascisme, qui incluent des ouvrages que nous publions ici même, au Québec, ainsi que ceux de nos camarades et ami·es aux États-Unis. Soyons clairs : il ne s'agit plus de simples menaces, l'exécution a commencé.
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Dans son papier pour La Presse, Fabrice Vil note très justement que les caméras d'intervention ne réduisent pas la violence policière.
www.lapresse.ca/dialogue/chr...
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Fabrice Vil, dans La Presse (30/09), au sujet de l’assassinat de Nooran Rezayi, 15 ans :  
« De tels évènements soulèvent régulièrement des débats concernant l’amélioration des pratiques policières. À ce titre, l’idée des caméras corporelles a fait un bout de chemin, mais une littérature de plus en plus abondante montre qu’elles sont coûteuses et présentent plusieurs inconvénients sans réduire la violence pour autant3. »   
3. L’auteur Alec Karakatsanis a d’ailleurs publié le 22 septembre la traduction française d’un de ses ouvrages à ce sujet : La caméra d’intervention : un dispositif au service de la bureaucratie de la punition. 
Deux images : 
La photo de Fabrice Vil en médaillom, de face. 
La couverure du livre : Sur fond blanc uni L’auteur : Alec Karakatsanis.  Le titre : La caméra d’intervention Le sous-titre : La caméra corporelle au service de la bureaucratie policière  Au centre, l’illustration d’une camera corporelle que portent les policier, barrée du symbole “interdit” (un cercle rouge traversé d’une barre rouge) En bas :  Traduction de René Lemieux  Préface de Ted Rutland  Éditions de la rue Dorion / Atelier téméraire
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Ça s'en vient lundi prochain!
Image ou l'on voit le logo de Pivot avec en-dessous le texte: "Le bruit des bottes, un balado de Sam Harper". En arrière plan, une rangée de bottes noires avec des lacets blancs de chaque côté et dans le centre une onde audio rouge.
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Nous offrons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Nooran Rezayi.
Nous réclamons vérité, justice, réparation.
#defundthepolice #definancerlapolice #copwatch #racisme
#spvl #justicepourNooran

La mort de Nooran Rezayi aux mains d’un policier de Longueuil qui lui a tiré deux fois dans l’abdomen alors que l’enfant de quinze ans ne posait aucune menace est l’occasion pour des personnes et des organisations se posant comme progressistes, libérales ou réformatrices de proposer que les corps de police soient équipés de caméras ­d’intervention.
C’est une fausse bonne idée, et cela pour plusieurs raisons, comme l’explique Alec ­Karakatsanis dans un ouvrage dont le lancement a eu lieu le jour même de la mort de Nooran, ce 21 septembre au festival 
Defund la police.

Pour justifier l’achat massif de cet équipement pour chaque policier, on invoque souvent la question de la responsabilité ou de la redevabilité, l’objectif de transparence et un meilleur contrôle des forces policières de la part des autorités ou du public. 
Or, dans son ouvrage, le juriste étasunien Alec ­Karakatsanis démontre que ce dispositif de surveillance, loin d’assurer plus d’imputabilité des forces répressives, renforce au contraire leur pouvoir, leur impunité et leurs budgets.
En effet, les caméras d’intervention ont d’abord pour « utilité » de protéger les forces répressives contre les poursuites civiles et pénales, de mieux contrôler le récit autour des interventions policières violentes, de surveiller davantage le public et réguler son comportement et de collecter de « meilleures » preuves contre les pauvres, les jeunes, les personnes racisées.
Les bandes vidéos sont utilisées et rendues publiques selon les modalités et au moment jugé opportun par les autorités de manière à contrôler le récit.

Dans sa préface à l’ouvrage, Ted Rutland note : 

« Pour les entreprises [qui fournissent ces équipements], les caméras d’intervention constituent une source inépuisable de revenus, non seulement par la vente des appareils, mais aussi par la fourniture d’un stockage massif de données et de logiciels d’analyse de données en constante évolution (y compris la reconnaissance faciale). Pour la police, elles constituent un véritable « trésor » de preuves vidéo et une arme puissante pour arrêter et extorquer des aveux de culpabilité aux personnes pauvres qu’elle cible massivement, une récolte plus abondante de renseignements lors des manifestations et un outil d’intensification de la répression politique. 
Enfin, les caméras d’intervention permettent aux responsables de détourner l’attention du public des problèmes institutionnels et systémiques vers des questions de responsabilité individuelle et de solutions techniques faciles. » 


Définançons la police.
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Perspectives queers sur la violence conjugale
Tantôt aimer, tantôt détruire
Ouvrage collectif dirigé par Pierre-Luc Landry et Cédric Trahan, Éditions de la rue Dorion, Montréal, 2025, 378 pages
Lire le texte de l'article dans les descriptifs d'image pour accessibilité.
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Perspectives queers sur la violence conjugale

Malgré tous les progrès réalisés en matière de droits des personnes LGBTQ+, des systèmes hétéronormatifs continuent de causer des préjudices disproportionnés à leur endroit, notamment en ce qui a trait à la violence conjugale. C’est l’une des conclusions de deux études menées par une équipe de recherche interuniversitaire québécoise, qui a participé à un ouvrage hybride paru la semaine dernière, dirigé par les artistes-chercheurs Pierre-Luc Landry et Cédric Trahan.

Le livre se distingue par sa structure en trois volets, visant à faire œuvre utile. Les deux codirecteurs et l’équipe menée par Sylvie Roy (Université Laval) et Sylvie Thibault (Université du Québec en Outaouais) consacrent ainsi une première partie à leurs recherches respectives. Dans la seconde, 17 auteurs signent chacun un texte de création littéraire inspiré de ces études. Enfin, deux organismes, Rézo et Divergenres, se prononcent sur les services qu’ils offrent aux victimes.

« On conçoit notre public cible comme étant à l’image de ces trois approches, explique Cédric Trahan, qui a récemment parachevé une maîtrise en littérature sous la direction de Pierre-Luc Landry, professeur à l’Université de Victoria, en Colombie-Britannique. On voulait que le livre puisse à la fois marquer le milieu universitaire, toucher le grand public et être distribué par des intervenants qui viennent en aide aux victimes, car les textes racontent des scénarios spécifiques, dans lesquels plusieurs risquent de se reconnaître. »

La partie création rassemble des voix déjà établies, comme Maryse Andraos, MP Boisvert, Antoine Charbonneau-Demers, Gabriel Cholette et Éric Noël, mais aussi des plumes à découvrir, comme Lux ou le psychothérapeute Maxime Deslisle, qui publie ici son premier texte littéraire. 
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Cette pluralité reflète l’objectif de l’ouvrage, comme il est énoncé d’emblée par Trahan et Landry : développer « une pratique littéraire pensée par et pour » les communautés LGBTQ+, en explorant une diversité de scénarios et de thématiques.

Portrait statistique

À la lumière des statistiques dévoilées dans le livre, la nécessité du projet apparaît encore plus évidente. La première partie offre un survol du cadre théorique et des rares recherches menées sur le sujet au pays, avant de présenter les travaux de Valérie Roy et de Sylvie Thibault. Ce n’est d’ailleurs qu’en 2018 qu’une première étude pancanadienne, citée dans l’ouvrage, a révélé que les personnes cisgenres non hétérosexuelles, de même que les personnes trans, déclaraient plus souvent avoir été victimes de violence conjugale que les cisgenres hétérosexuels.

« Quand on pense aux violences dans les relations intimes, on imagine souvent un agresseur homme et une victime femme, mais les statistiques montrent qu’on a longtemps mis de côté toute une partie de la population qui est aussi très affectée, souligne Pierre-Luc Landry. On commence à peine à récolter des données sur ces questions. Il reste beaucoup de travail à faire. »

La violence se manifeste parfois même de façon spécifique à certaines communautés. Valérie Roy et Sylvie Thibault, dont l’équipe a mené de longues entrevues avec des dizaines de participants, concluent que « les personnes trans hétérosexuelles et les personnes bisexuelles et pansexuelles, tous genres confondus, apparaissent particulièrement à risque », souvent aux prises avec l’invalidation de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre de la part de leur partenaire.

« Les membres des communautés LGBTQ+ risquent alors encore plus de remettre en question leur identité lorsqu’ils subissent des violences, ce qui aggrave nécessairement leur état psychologique », précise Pierre-Luc Landry.

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Les chercheurs déplorent également l’existence d’un « système cishétéronormatif dominant », qui amène les personnes LGBTQ+ à se culpabiliser lorsqu’elles ne se conforment pas à certaines normes de genre pouvant être renforcées par leur partenaire. En outre, les ressources en matière de violence conjugale demeurent peu adaptées aux besoins de ces clientèles. On le constate par exemple sur la page d’aide en ligne du gouvernement du Québec ainsi que sur les sites des principaux organismes, où les clientèles LGBTQ+ sont rarement mentionnées.

L’impact de la littérature

Les textes de création sont issus de séminaires où les auteurs ont pu échanger avec les chercheurs ainsi qu’avec d’autres experts. « On voulait que les artistes s’inspirent directement des données, explique Pierre-Luc Landry. Ils ont aussi eu accès à des témoignages anonymisés et à des recherches sur des thèmes précis de leur choix, comme la violence économique ou psychologique. Nous les avons un peu accompagnés dans leur démarche d’écriture, mais les récits sont restés plutôt personnels. Certains ont même intégré pour la première fois leurs propres expériences de violence, c’était parfois très émotif. »

Cédric Trahan raconte avoir été surpris par la diversité des formes ayant émergé du processus : « Je pense ici à Si Poirier, qui intègre avec une belle ironie, dans son texte poétique, des extraits de documents à remplir pour faire reconnaître sa transition de genre auprès du gouvernement. Sinon, Éric Noël, qui vient du milieu du théâtre, nous fait sentir une grande clarté dans l’échange entre ses personnages, une forme d’oralité proche de celle de la scène. Ça m’a impressionné. »

Une partie des créations est même consacrée aux perspectives d’agresseurs, « un sujet tabou », selon lui. Pierre-Luc Landry ajoute que ceux-ci « démontrent implicitement l’insuffisance du modèle opposant agresseur et de l’agressé ». « Tous les textes de l’ouvrage nous confrontent ainsi à nos zones d’ombre, conclut-il, et…
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L'atelier d'impression Le Pieu nous accueille pour le lancement de l'ouvrage "Tantôt aimer, tantôt détruire. Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+
Mardi 23 sept. à 18h à la Charpente des fauves, 206 Christophe-Colomb Est, Québec.
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Atelier d’impression Le Pieu · Charpente des fauves · Éditions de la rue Dorion

Tantôt aimer, tantôt détruire. Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+

Lancement lectures, discussion et petites gâteries

L’ouvrage propose une praxis de la création littéraire entendue comme démarche artistique individuelle et collective, intervention sociale, engagement politique et communautaire, ainsi que vecteur de diffusion 
des connaissances.

Sur fond dont les couleurs orange et jaune sont mélangées abstraitement qui pourrait évoquer un ciel nuageux
Le titre : Tantôt aimer, tantôt détruire
Le sous-titre : Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+ 
En bas : Sous la direction de Pierre-Luc Landry & Cédric Trahan 
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She Blinded Me With Débats d'Idées:
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Outre l'auteur Alec Karakatsanis
@equalityalec.bsky.social, seront présents : René Lemieux, le traducteur @renelemieux.bsky.social et le préfacier et animateur de l'activité, Ted Rutland @tedrutland.bsky.social.
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Festival Defund la Police
Discussion avec l’auteur à l’occasion de la parution de
La caméra d’intervention d’Alec Karakatsanis
avec Ricardo Lamour ; animation Ted Rutland
Dim. 21 sept. 15h
曲意中心跳舞学校
École de danse et culture chinoise
1012 Clark / Chinatown de Tiohtià:ke
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Affiche du festival Defund la police : illustration de l’artiste Sasha. Sur un fond rose uni, deux arbres prennent racine dans une voiture de police blanche. Dans la canopée de feuilles vertes, des lanternes rouges avec des fleurs jaunes. Les inscriptions : 21 sept à 15h ; 曲意中心跳舞学校. École de danse et culture chinoise 1012 rue Clark (dans le quartier chinois) ; Discussion avec l’auteur à l’occasion de la parution de : La caméra d’intervention d’Alec Karakatsanis avec Ricardo Lamour ; animation Ted Rutland ; Festival Defund la police. La couverture du livre Sur fond blanc uni L’auteur : Alec Karakatsanis.  Le titre : La caméra d’intervention Le sous-titre : La caméra corporelle au service de la bureaucratie policière  Au centre, l’illustration d’une camera corporelle que portent les policier, barrée du symbole “interdit” (un cercle rouge traversé d’une barre rouge) En bas :  Traduction de René Lemieux  Préface de Ted Rutland  Éditions de la rue Dorion / Atelier téméraire Le texte de la quatrième de couverture : Le juriste étasunien Alec Karakatsanis a fouillé dans plus d’une décennie de dossiers, de déclarations, de données financières et dans des centaines d’articles de presse portant sur les caméras d’intervention de la police aux États-Unis. Il conclut que la campagne publique visant à vendre ces caméras comme une « réforme » libérale est l’une des plus grandes supercherie de la copaganda (propagande policière) étasunienne moderne. Les chefs de police et les procureurs voulaient désespérément des caméras d’intervention, non pas parce qu’elles rendent responsables ou transparentes les forces de police, mais précisément parce qu’elles renforcent leur pouvoir, leur impunité et leurs budgets.  À l’heure où l’on voit, aux États-Unis comme ailleurs, la reprise en mains par la droite conservatrice et l’extrême droite des dispositifs de contrôle que démocrates, -libéraux ou progressistes se sont contenté d’aménager, voire de perfectionner sous couvert d’un réformisme fourvoyé, l’auteur nous invite à remettre en question les outils de répression et de surveillance. Par le biais de la critique de la caméra d’intervention, l’auteur fournit les outils pour remettre en question la taille, le pouvoir et les profits de la bureaucratie de la punition et ainsi enrayer le cycle de violence, de gaspillage, d’enrichissement d’intérêts privés et de manipulation du public.  Cofondateur de l’organisation Equal Justice Under Law et considéré comme une sommité lorsqu’il s’agit d’analyser le système pénal étasunien, Alec Karakatsanis met à profit son expertise juridique pointue pour s’opposer aux injustices, notamment raciales. Il vient également de faire paraître Copaganda (The New Press, 2025). Il verse ses droits d’auteurs à la coalition Stop LAPD Spying. Ted Rutland est géographe, chercheur interdisciplinaire et militant de l’abolitionnisme policier basé à Montréal/Tiohtià:ke.
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Festival Defund la police, le dimanche 21 septembre de midi à 19 heures.
Lancement du livre La caméra d'intervention à 15 heures.
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Nous souscrivons entièrement à cet appel important à la mobilisation.
exte alternatif / descriptif d’image pour accessibilité

En haut de l’image, sur fond blanc, le slogan : 

TIOHTIÀ:KE – MONTRÉAL. NON À L’ÉQUIPE “ISARËL” AUX GRANDS PRIX CYCLISTES

Au centre de l’image, l’illustration de trois coureurs cyclistes en maillot bleu. Sur la poitrine du coureur du centre, les mots (en blanc) : ISRAEL PREMIER TECH (le nom de l’équipe propriété de l’homme d'affaires sioniste israélo-canadien Sylvan Adams). Les trois coureurs sont cadrés dans un cercle rouge barré (symbole d’interdiction).

En dessous de l’illustration, un bandeau vert avec l’inscription : MANIFESTATION

En dessous, un bandeau noir avec une illustration miniature du monument avec les inscriptions : 

DIMANCHE 14 SEPT À 13H 
STATUE DU MONT-ROYAL MONUMENT
MONUMENT SIR GEORGE-ÉTIENNE-CARTIER
ACCÈS SUD PAR L’AVENUE DES PINS

Au bas de l’affiche, sur fond blanc ; 

À gauche :

SOYONS VISIBLES, SOYONS BRUYANTS
APPORTEZ DRAPEAUX, KEFFIEHS, PANCARTES ET CASSEROLES
DISSIMULEZ CES SIGNES JUSQU’AU RASSEMBLEMENT

À droite, les logos des organisations qui convoquent : 
Désinvestir pour la Palestine
Bikers4Pal
PAJU
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Un livre, mais surtout une démarche collective inédite de recherche-création-intervention.
En présence de nombreuses personnes parmi les quelque 27 auteurices ayant participé au volet scientifique, au volet création et au volet ressources communautaires.
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Lancement, lectures, discussion et petites gâteries
Tantôt aimer, tantôt détruire
Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+
Jeudi 18 sept. à 18h
La Livrerie, 1376 Ontario est
Photographie de l'enseigne de La Livrerie, librairie coopérative de quartier. Dans un carré jaune, à droite, le titre de l'ouvrage qui sera lancé : Tantôt aimer, tantôt détruire. Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+
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Tantôt aimer, tantôt détruire. Récits de sensibilisation aux violences dans les relations LGBTQIA2S+
Sous la direction de Pierre-Luc Landry & Cédric Trahan
ÉPREUVES APPROUVÉES
En librairie le 17 septembre
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Tantôt aimer, tantôt détruire
Récits de sensibilisation aux violences
dans les relations LGBTQIA2S+
Sous la direction de Pierre-Luc Landry & Cédric Trahan
ÉPREUVES APPROUVÉES
En librairie le 17 septembre TABLE DES MATIIÈRES /  / Pierre-Luc Landry et Cédric Trahan : Potentiels contre-hégémoniques de la recherche-création collective en contexte d’intervention /  / Valérie Roy, Sylvie Thibault, Gabrielle Rioux, Samuel Gagné, Claudia Fournier et Rebecca Angele : Reconnaître la violence dans les relations intimes ou amoureuses chez les populations LGBTQ+ : apports de deux recherches québécoises /  / CRÉATION	 /  / CARE : RÉSEAUX, AMITIÉS, COMMUNAUTÉS	 /  / Antoine Charbonneau-Demers : Chicken Legs	 Gabriel Cholette : Glad he’s gone	 /  / Amélia Fiset : Passing girl	 /  / Michel Lemelin : La dernière tempête	 /  / Lux : Cet engourdissement inconfortable	 /  / Amélie Paquet : Une utopie blessée	 /  / PERSPECTIVE(S) : INFLIGER, SUBIR /  / Éric Noël : Quelqu’un qui t’aime	 /  / Maxime Delisle : Safe space	 /  / Noa Szymczak : Processus amoureux	 /  / Maryse Andraos : La joute	 /  / PHÉNOMÉNOLOGIE : INTIMITÉ DE LA VIOLENCE /  / Julie Boulanger : Des fragments entrecoupés de silence avec l’espace nécessaire pour respirer Kiev Renaud : La Pietà	 /  / MP Boisvert : I wish que c’était drôle	 /  / Thomas Ayouti : Et que ta main se pose dans la mienne	 /  / Alexandre Rainville : Pauvre petit·e	 /  / Si Poirier : Demande de changement de traumatismes	 /  / Marilou LeBel Dupuis : Partir	 /  / INTERVENTION	 /  / RÉZO : Menu du jour. Le cercle de la violence conjugale	 /  / Divergenres : Perspective trans et féministe sur les violences basées sur le genre	 /  / Liste de ressources LGBTQIA2S+	 /  / Notices biographiques	 /  / Index des étiquettes	 /  /
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Le commun des mortelles. Faire face au féminicide
De Margot Giacinti
Postface de Nawel Hamidi
256 pages. En librairie
ruedorion.ca/le-commun-de...
Loin de la lecture conjugaliste (le meurtre “entre époux” qui symétrise les violences dans le couple) et la lecture “passionnelle”, le concept de féminicide constitue une manière radicalement différente de penser le meurtre d’une femme parce qu’elle est une femme, un crime produit par le rapport de domination qu’est le genre.
Le travail de Margot Giacinti (dévoilement généalogique et analyse d’affaires judiciaires, notamment) permet de saisir les biais socio­historiques qui ont entravé la prise en compte du phénomène. Pour les politiques publiques en matière de lutte contre les violences, il s’agit de mieux évaluer la menace de mort et soutenir les tentatives d’émancipation des victimes,  car c’est souvent lorsque les femmes exercent une agentivité contraire à la volonté des hommes, en transgression de l’ordre patriarcal, qu’elles sont tuées.

Une miniature de la couverture : 
Sur fond noir uni
L’autrice : Margot Giacinti
Le titre : Le commun des mortelles
Le sous-titre : Faire face au féminicide 
Au centre, l’illustration d’une femme, de dos, faisant face à une immense flamme orange et jaune.
En bas : 
Postface de Nawel Hamidi 
Éditions de la rue Dorion / Divergences
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JOIE 🔥Le Commun des mortelles paru en Europe aux @divergences.bsky.social paraitra au Québec aux @ruedorion.ca. Disponible le 19 août avec une postface signée Nawel Hamidi, professeure à l’université Saint-Paul, portant sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées au Canada.
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Samedi, de 15h à 19h, sur la promenade Ontario dans Hochelaga, avec Moult Éditions, l'Idiot utile, des artisan·es du quartier et DJ Yury Marven Jean ! Microbrasserie L'Espace Public, 3632 Ontario E.
Photo de la microbrasserie L'Espace Public. Le texte : MARCHÉ D'ART ET DE LIVRES PUBLIC
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The ‘Israel is our ally’ defense will not hold up in the international criminal court (ICC) or international court of justice (ICJ)
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Le commun des mortelles. Faire face au féminicide, de Margot Giacinti, postface de Nawel Hamidi. En librairie le 19 août.
Sur fond noir uni
L’autrice : Margot Giacinti
Le titre : Le commun des mortelles
Le sous-titre : Faire face au féminicide 
Au centre, l’illustration d’une femme, de dos, faisant face à une immense flamme orange et jaune.
En bas : 
Postface de Nawel Hamidi 
Éditions de la rue Dorion / Divergences Les meurtres de femmes parce qu’elles 
sont des femmes, autrement dit les féminicides, ont une histoire trop longue. Plusieurs générations de féministes, depuis la fin du XIXe siècle, ont dénoncé à leur façon le caractère genré de ces phénomènes. C’est d’abord à elles que cet ouvrage rend hommage en retraçant leurs combats et leur pensée. C’est ensuite à l’expérience des victimes qu’il s’intéresse. Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d’agir contre leurs agresseurs. L’examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd’hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d’un fait social tristement structurel. Margot Giacinti est chercheuse en 
science politique et militante au Planning Familial du Rhône. Elle a soutenu en 2023 une thèse à l’ENS de Lyon intitulée « “Quand il n’y a pas mort d’hommes”. Socio-histoire du féminicide en France (1791-1976) » (prix de thèse 2024 de l’Institut du Genre). Actuellement post-doctorante à l’Université de Lille, elle travaille sur les politiques publiques de lutte contre les violences de genre.

L’ouvrage est complété d’une postface de Nawel Hamidi, professeure à l’université Saint-Paul et spécialiste des systèmes coloniaux et des Premiers Peuples, portant sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées au Canada.

En Europe, cet ouvrage paraît aux éditions Divergences. Le commun des mortelles
Faire face au féminicide
Margot Giacinti

Postface de 
Nawel Hamidi
256 pages







Format 17 x 12 cm
ISBN : 978-2-924834-79-4
Prix : 24,95 $

Format ePub
ISBN : 978-2-924834-85-5
Prix : 15,99 $
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Excellente recension de notre réédition, avec La Fabrique, de l’ouvrage phare de l’historien Ilan Pappé : Le nettoyage ethnique de la Palestine – parmi d'autres ouvrages tout aussi intéressants.
www.monde-diplomatique.fr/2025/07/PIRO...
De Gaza à la Cisjordanie, un siècle d'oppression et de résistance
En kiosques // par Olivier Pironet (juillet 2025)
www.monde-diplomatique.fr
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“Déborder Bolloré“ nous invite à faire face au libéralisme autoritaire dans le monde du livre. L’ouvrage présente des pistes de réflexion radicales et motivantes pour l’avenir. Philippe Godard formule ici quelques compléments, des pistes d’action politique contre la concentration dans l’édition.
Compléments à « Déborder Bolloré » - Pour servir à une critique radicale de la concentration dans l’édition
Pour servir à une critique radicale de la concentration dans l’édition
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