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Dominique Méda

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Samedi nous fêterons les 80 ans de la Sécurité sociale. C'est un trésor national. Je l'explique dans cette chronique ( lnkd.in/eKdBBE3F ) dans cette émission de public Sénat (lnkd.in/gg9MvmFd ) et dans ce grand colloque (lnkd.in/g5U_Ny4j)
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Ce matin sur @franceculture.fr dans la matinale de @guillaumeerner.bsky.social remarquable intervention de Nicolas Roussellier

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nhervieu.bsky.social
C'est désormais devenu une habitude pénible & mortifère.

Les élus et responsables publics mis en cause pénalement s'en prennent publiquement & personnellement aux magistrats (qui ne font que leur travail).

Une stratégie (cynique) pour occulter le contenu des accusations pénales...
Le président du tribunal judiciaire de Paris accuse Rachida Dati de jeter "l'opprobre" sur les magistrats après son renvoi en procès pour corruption
La ministre de la Culture avait estimé sur LCI, après l'annonce de son renvoi, que "toute la procédure [était] émaillée d'incidents".


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Article rédigé parfranceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié le 23/07/2025 11:00
Mis à jour il y a 7 minutes

(...)

Le président du tribunal judiciaire de Paris a dénoncé, mercredi 23 juillet, "l'opprobre jeté publiquement sur des magistrats" par la ministre de la Culture Rachida Dati après son renvoi en procès, aux côtés de l'ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn, pour corruption et trafic d'influence. La maire du 7e arrondissement de Paris avait estimé mardi sur LCI que "toute la procédure a été émaillée d'incidents", mettant en cause certains magistrats qui, selon elle, "marchent" sur les droits de la défense.

"Toute personne peut librement apporter tout élément d'explication utile à l'appui de sa défense, au titre d'une prise de parole assurant le respect de sa présomption d'innocence", souligne Peimane Ghaleh-Marzban dans un communiqué. Mais "l'opprobre jeté publiquement sur des magistrats soumis au devoir de réserve et ne pouvant répondre à ces attaques, jette le discrédit sur l'autorité judiciaire et sape la confiance légitime des citoyens dans la justice", ajoute-t-il.

by Dominique MédaReposted by: Éric Heyer

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