Halluciné des commentateurs de salon qui s'émeuvent du cambriolage au Louvre mais qui ne mentionnent jamais que des salariés de la sécurité se sont mis en grève en juin pour dénoncer les sous-effectifs ou que sa directrice a alerté la ministre de la Culture Rachid Dati de l'obsolescence du musée.

Le traitement de l'incarcération de Sarkozy est d'une violente indécence comme rarement on en a vu, quand même - dans des médias d'une servilité abyssale.

Jusque là, les conditions de détention n'intéressaient personne - sauf pour les décrire comme trop agréables. A gerber, de bout en bout.

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Comment le braquage du Louvre tourne à l’instrumentalisation politique