Arnaud Vineski
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décolle
la peau d’un squale
échoué
pleure-t-il dans les rafales
de lumière
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J’ai cru lire Gerard Miller, quelle horreur
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Conclusion, on se fourvoie en trempant une main dans de l’eau froide, en s’asseyant sur un poêle ou en faisant appel à un psy de l’Ecole Freudienne
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Je ne vais pas payer un psy alors que Bluesky existe, vous divaguez
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Mon pauvre. Mon poêle encore a laissé une vague tache uniforme, mais ces engins...
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Oui c'était bien Lacan, j'ai cru comprendre que tu te cognais parfois Cloé.
Et oui, il prend cher Lacan, très cher (j'adore cette phrase)
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Eh bien ne le vois jamais, c'est un festival de placards ouverts et d'éviers qui débordent de vaisselle.
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A ce propos, quand je cuisine, j'aime que tout soit préparé en amont, or je vis avec quelqu'un qui, sans que je ne le voie, range aussitôt les ustensiles que j'ai rigoureusement alignés sur le plan de travail, comme si un fantôme passait derrière moi. C'est vraiment perturbant...
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Mon dieu tu as du te sentir mal dans la scène du Sixième sens, quand les placards de la cuisine s'ouvrent continuellement...
L'eau bouillante dans l'évier, c'était un piège pour te prendre au mot ?
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La contingence, c'est quand on se brûle
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En tant que personne qui a posé sa main sur un poêle et s'est brûlé au troisième degré, depuis le début, je reste très embarrassé par cet exemple
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Et puis d'abord, comment es-tu si sûr "que c'est là une main" ?
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Pourquoi tu t'obstines aujourd'hui à vouloir plonger ta main dans de l'eau bouillante ? C'est une sorte d'ordalie ? Mets un gant voyons, je t'assure que ça limitera les risques
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Un parasite. Le même qui a emmerdé Anthony (avec beaucoup d'agressivité) parce qu'il n'a pas respecté la règle du e muet prescrite dans le Petit Traité de versification française de Maurice Grammont
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Je préférerais ne rien savoir de ces gens, mais c'est petit, une cour de récré
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Ce qui est drôle, chez ces gens, c'est d'un côté l'écart qui existe entre ce qu'ils sont et l'image qu'ils voudraient donner d'eux ; et d'un autre côté la concordance de leurs comportements toxiques IRL et sur les RS, ils se comportent dans leur cour de récré comme ils se comportent sur les RS
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Elle doit être intimement convaincue que dès lors qu'elle ne connaît pas Musil ou W, qui ont le tort de ne pas parler de ses lubies, personne n'a plaisir à les lire et à en parler. Etant donné le personnage, je pense qu'elle projette beaucoup de ses traits sur les autres
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Pas que moi, mais surtout moi.. Elle a dit que nous étions tous des mecs qui jouent à qui pissent le plus loin en allant chercher des citations sur Grok ; je lui ai rappelé que des femmes intervenaient aussi, mais qu'elle ne pouvait pas le voir car elles l'ont bloquée pour ses interventions toxiques
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et ainsi de suite, et c’est à l’aide de toutes ces notions que l’on examine le phénomène donné" (L'Homme sans qualité, T1, p. 613).

Passage cité dans l'article de Fasula, "Les mathématiques chez Musil et W : de la mesure des possibilités à leur invention"

journals.openedition.org/philonsorbon...
Les mathématiques chez Musil et Wittgenstein : de la mesure des pos...
Au tout début de L’Homme sans qualités, Robert Musil attribue à Ulrich, le personnage principal, un sens du possible qui n’est pas sans rappeler certains traits de la pratique wittgensteinienne de ...
journals.openedition.org
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on obtient une distribution stationnaire, ou loi de distribution, on calcule l’écart moyen, la déviation par rapport à une valeur quelconque, l’écart médian, l’écart moyen quadratique, l’écart type, la fluctuation,

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(quels nombres se situent-ils entre telle ou telle valeur, entre telle valeur et la suivante, et ainsi de suite ?) et l’on en tire des lois de répartition : on constate alors que la fréquence du phénomène présente, ou ne présente pas, des variations systématiques ;

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et on se trouve devant un phénomène dont on ne sait pas exactement s’il relève de la loi ou du hasard : alors le problème humain devient passionnant. On commence par transformer sa pile d’observations en pile de chiffres ; on établit des classes

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et même si les observations ne donnent jamais la valeur cherchée, elles n’en restent pas moins, de quelque manière, dans les parages, de sorte qu’on peut calculer cette valeur à partir d’elles. Ou bien on n’a pas ces raisons, comme c’est souvent le cas dans la vie,

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"Vous vous souvenez sans doute, par les cours que vous avez suivis, comment les choses se passent quand on aimerait savoir si un phénomène relève ou non d’une loi ? Ou bien on a d’avance ses raisons de le croire, comme par exemple en physique et en chimie,