Damien Rfd
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Damien Rfd
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de5a7.wordpress.com
Adolescent, j'ai vu la version française de Princess Bride environ 30 fois. Définitivement culte.
December 15, 2025 at 10:12 AM
La jubilation à la vision de cette scène... Lynch était sacrément joueur.
November 28, 2025 at 10:49 AM
Je ne me doutais pas qu'après le premier extrait, il pouvait y en avoir un autre qui me mettrait presque plus mal à l'aise.
November 28, 2025 at 10:47 AM
J'ai revu True Grit il y a quelques jours, j'ai trouvé ça rétrospectivement plus évident (mais la première fois où j'ai vu Twin Peaks, j'étais beaucoup moins plongé dans le western, Hank Worden m'était moins familier).
November 27, 2025 at 8:26 AM
J'ai réalisé ça très, très tard et ça m'a fasciné !
November 26, 2025 at 10:28 PM
Je suis choqué.
(Je connais peu Heine mais j'aime ce que j'en connais, et je suis un fou des rythmes de la poésie française.)
November 15, 2025 at 11:31 PM
Un exercice de style pour rien, l’exemple parfait de la fausse bonne idée. Et sans chute parce qu’il est totalement assumé qu’il n’y a aucune réflexion dépassant le dispositif narratif.
Mais un casting de luxe et des images travaillées pour l’illusion de la qualité.
Netflix.
November 11, 2025 at 10:56 PM
Je suis étonné, je croyais que c'était censé mettre en avant le côté charismatique et énigmatique ?

(Un personnage inexpressif pour adapter L'Étranger, c'est un enfonçage de porte ouverte qui devrait être remis en question dès l'origine du projet. Ça m'énerve qu'une production soit si fainéante.)
November 3, 2025 at 10:31 AM
Quand c'est le cœur du projet, le film n'a plus besoin d'exister, une photographie suffit pour visualiser l'incarnation, la bande-annonce pour voir les intentions de jeu. Le film s'annule d'office, limité à une représentation contenue dans une image (l'affiche) ou un extrait (la bande-annonce).
October 29, 2025 at 10:53 AM
Quant à Smashing Machine, il s'agit de s'approcher au plus près de l'humain, donner une nouvelle dimension à une icône. Quand c'est au service d'un projet qui le dépasse, cela peut être très beau, à condition d'oublier qui incarne le personnage.
October 29, 2025 at 10:52 AM
J'ai toujours vu L'Étranger comme un mystère, où le style se tient parfaitement à distance du personnage, ne donnant aucune clef sur les sentiments qu'il éprouve. Il ne s'agit pas de ce qu'il ressent ou ce qui le motive, mais ce que les autres, démunis, y projettent. Le filmer est un projet absurde.
October 29, 2025 at 10:47 AM
Cette critique positive du film salue la posture post-coloniale : tout est dit. Il ne s'agit pas du livre, il s'agit de raconter le fait divers en annulant Camus. Ozon tombe (d'après ce texte) dans la facilité avec une approche parfaitement opportuniste, consciemment ou non. Le reste est accessoire.
Dans « L’Etranger », le cinéaste François Ozon fait de Meursault un homme qui ne nous est pas radicalement étranger
A rebours de l’adaptation littérale faite par Luchino Visconti en 1967, le réalisateur offre avec intelligence et sensibilité une version mise à jour et plus politique du roman d’Albert Camus.
www.lemonde.fr
October 29, 2025 at 10:44 AM
Je ne m'explique pas les critiques très largement positives. Le scénario n'est pas vertigineux, il est brouillon ; les effets visuels ne sont pas grandioses ou inventifs, ils sont tape-à-l'œil et épuisants. Un film qui sera oublié par tout le monde d'ici quelques mois.
October 21, 2025 at 11:47 AM
Ultra référencé, le film hésite entre hommage et parodie, et ne fait ni l'un ni l'autre, les clins d'œils appuyées sont sans objet.
La réalisation fait penser à un étudiant qui, sans trier, teste ce qui lui vient à l'esprit.
Il y a quelques belles idées mais elles finissent noyées dans le chaos.
October 21, 2025 at 11:38 AM
Le rapport à la révolution et à la résistance rencontre lui un écho très fort avec l'actualité, même si PTA ne creuse pas la question (après tout, Di Caprio dépasse sa lâcheté sous la contrainte, et pour des raisons purement personnelles). Mais voir cette énergie, cette révolte, fait du bien.

8/8
October 11, 2025 at 9:19 PM
Sur le fond, on retient le beau cheminement de la relation père-fille.
Le discours outrancier sur le racisme est d'un simplisme adolescent, on retrouve la même finesse que chez Tarantino quand il fait Django unchained (ce n'est pas bon signe).

7/
October 11, 2025 at 9:16 PM
On peut d'autant plus regretter que PTA n'embrasse pas plus sérieusement le côté divertissement et grand spectacle hollywoodien, et qu'il force une tendance faussement subversive pour faire le malin. Mais à part le prologue, l'équilibre est assez bon.

6/
October 11, 2025 at 9:12 PM